POLITIQUE DE PROTECTION DE LA CONFIDENTIALITÉ ET USAGE DE TÉMOINS

Le Groupe Hagen prend très au sérieux la protection de votre vie privée, et c’est dans cet esprit que nous avons mis à jour notre politique de confidentialité qui traite, entre autres, de l’usage de témoins. Nous espérons ainsi assurer une meilleure transparence quant à notre utilisation de vos renseignements personnels en vous expliquant, notamment, comment l’usage de témoins vous permet d’améliorer votre expérience en ligne en plus de ne vous exposer qu’aux publicités qui pourraient vous intéresser. En choisissant de visiter notre site Web, vous nous signalez que vous consentez à recevoir des témoins. Modalités et politique de confidentialité

Loro Parque – Une vue à vol d’oiseau

La fondation Loro Parque Fundación a créé, aux confins des îles Canaries, un paradis pour les perroquets et les personnes qui ont ces oiseaux à cœur.

Son histoire

PUEBLO_T Loro ParqueEn 1972, Wolfgang Kiessling ouvre les portes d’un parc animalier pour perroquets couvrant à peine une superficie de 0,013 km2, à Puerto de la Cruz, au nord de l’île Tenerife, la plus importante de l’archipel espagnol.
Établi au bon endroit, au bon moment, le zoo Loro Parque a su tirer profit de l’essor qu’a connu le tourisme sur Tenerife durant les 30 dernières années. Occupant maintenant un territoire de 0,135 km2, le premier parc animalier pour perroquets est devenu un véritable zoo de renommée mondiale. De plus, le climat de la région subtropicale (située à 28o nord de latitude) et le courant froid provenant de l’Atlantique créent des conditions climatiques pratiquement parfaites pour l’élevage des perroquets. D’ailleurs, les premiers Espagnols ayant foulé le sol de l’archipel l’ont surnommé les« îles prospères », particulièrement en raison du climat exceptionnel qui y règne. Ces conditions idéales, jumelées à des installations de première qualité, gracieuseté du parc et de la fondation Loro Parque Fundación (LPF), constituent un paradis pour les perroquets et pour ceux et celles qui les adorent.

Le zoo d’aujourd’hui

ISLA_DEL Loro Parque
L’île des tigres au zoo Loro Parque

Aujourd’hui, le zoo Loro Parque n’accueille pas moins de 1,5 million de visiteurs par année, qui viennent observer perroquets et autres espèces. Derrière l’élégante entrée du parc, inspirée de l’architecture orientale, les visiteurs pénètrent dans un jardin zoologique enchanteur. Grâce à l’abondante végétation luxuriante, ceux-ci sont émerveillés par le paysage tout au long de leur visite et les animaux profitent de divers microclimats. Ceux et celles qui souhaitent voir des perroquets seront satisfaits, car le parc abrite quelque 800 spécimens provenant d’une diversité d’espèces qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Depuis l’ouverture du zoo, l’objectif est de maintenir une grande variété de perroquets. Voltigeant pratiquement partout sur le site, les oiseaux sont la raison d’être du zoo et le centre d’intérêt des visiteurs, tenus sous leur charme. Fascinés par l’arc-en-ciel de couleurs, l’entrain adorable et la grande variété des espèces, les visiteurs quittent le zoo satisfaits de leur journée. De plus, leur rencontre avec ces charmants oiseaux leur permet de mieux les comprendre, car c’est avec la culture que viennent le respect et la volonté de les préserver. Constituant le rôle principal de la fondation LPF, cette cause prend de plus en plus d’ampleur, comme nous le constaterons dans cet article. GUACAMAY_small

Voici les principaux objectifs du zoo et de la fondation : offrir un parc animalier pour perroquets, pratiquer l’élevage des perroquets, assurer une action éducative continue et préserver les espèces.

Les attraits

Entrons maintenant dans l’univers du zoo Loro Parque, en plein cœur d’une jungle verdoyante et débordante de vie. Le sentier débute habituellement par cinq imposants et fringants gorilles à dos argenté, qui vivent ensemble, en harmonie. Comme ces derniers font partie du programme européen pour les espèces en danger (EEP, pour European Endangered species Program), lorsqu’un parc animalier inscrit au programme est à la recherche d’un nouveau chef pour un groupe de femelles et de gorilles juvéniles, le zoo est prêt à fournir l’heureux élu.
Loro Parque TrioÀ quelques pas des gorilles habitent leurs proches cousins, des chimpanzés qui, à l’époque, avaient été saisis par les autorités gouvernementales de Tenerife parce qu’on les utilisait pour les touristes désirant se faire photographier sur la plage. Grâce aux bons soins qui leur sont prodigués au zoo, ces animaux se sont complètement intégrés au sein d’un groupe équilibré et servent à la reproduction. Socialement engagé, le parc a également accueilli des tigres en très mauvais état pour leur apporter des soins de qualité. Par ailleurs, le zoo abrite d’autres espèces de félins de grande taille, dont des jaguars au pelage typique et d’autres au pelage noir.

Les pingouins

La banquise de pingouins est l’un des plus récents ajouts. Cette attraction, avec un système de contrôle du climat à la fine pointe de la technologie qui reproduit fidèlement l’environnement naturel de ces oiseaux, constitue le plus grand « pingouinarium » au monde. La zone du climat polaire abrite trois espèces de pingouins : le manchot royal, le manchot papou et le gorfou sauteur. Les visiteurs peuvent observer les pingouins pendant que ceux-ci nichent sur les rochers enneigés ou qu’ils nagent sous l’eau à une vitesse incroyable. Un groupe de macareux moines, les cousins nordiques des pingouins, vit juste en face. Dans la zone la plus récente niche une colonie de manchots de Humboldt, une autre espèce en danger inscrite à l’EEP, qui préfère les températures plutôt chaudes de leur lieu d’origine, aux abords de la rive du désert d’Atacama.

Loro Parque Penguin
Avec un système de contrôle du climat à la fine pointe de la technologie, la banquise des pingouins est la plus récente et la plus importante attraction de ce genre jamais vue!

L’aquarium

TUNEL_small
Le tunnel à requins au zoo Loro Parque

Avec sa passerelle aux requins et ses nombreuses zones d’eau de mer et d’eau douce dignes des plus magnifiques régions tropicales et tempérées, l’aquarium est également un incontournable. Parmi les écosystèmes aquatiques à voir, on compte l’habitat des alligators d’Amérique, ainsi que le lac couvert de lis qui s’étend à l’entrée du parc, où des milliers de koïs partagent leur habitat avec des flamants nains tout aussi flamboyants. Quant aux espèces de grande taille, flamant du Chili, grue couronnée et grue demoiselle, elles se prélassent sur les espaces verts des autres zones du parc. Sur leur chemin, les visiteurs croisent des espèces insolites, comme l’iguane rhinocéros des îles Caïmans et la tortue géante des Galapagos.

Toutefois, les spectacles mettant en vedette dauphins à gros nez, otaries de Californie et perroquets remportent les honneurs. Les dauphins et les otaries exécutent leur numéro plusieurs fois par jour dans le stade à ciel ouvert qui leur est respectivement réservé, où les visiteurs s’entassent pour contempler les talents naturels et l’intelligence à couper le souffle de ces animaux. Chaque stade possède un bassin de transition en arrière-scène et les animaux ne sont jamais contraints à participer au spectacle. Au contraire, il est parfois difficile de les empêcher de se donner en spectacle! La représentation intitulée Loro Show (ou comme son nom l’indique, le spectacle des perroquets) met ces « rois de la voûte céleste » en scène. Dévoilant une volée de perroquets gracieux et hauts en couleur qui éblouit les visiteurs, le spectacle se déroule dans un immense édifice de style mauresque, nommé « palais des perroquets ». Dolphin Show - Loro ParqueComme les dauphins et les otaries, les perroquets sont sélectionnés avec soin et sont très proches de leur équipe d’entraîneurs dévoués. La pouponnière est une autre zone populaire, car on peut y observer des spécialistes nourrir à la main des bébés perroquets et des nouveau-nés. Le zoo préconise d’abord et avant tout l’élevage des petits par leurs pairs, mais dans une aussi grande volière, il est inévitable que certaines situations obligent le nourrissage à la main des oiseaux juvéniles. Les gens adorent regarder les spécialistes à l’œuvre, car ces derniers le font avec amour et compassion.

Les perroquets

Macaw Manu copyTous les perroquets du parc animalier, et ceux de la volière du spectacle, appartiennent à la fondation LPF depuis sa création en 1994, gracieuseté du zoo Loro Parque. En retour, la fondation permet au zoo d’en utiliser un certain nombre pour le grand public. À son tour, le parc a offert à la fondation une ancienne bananeraie de 0,03 km2, située à 200 m (660 pi) d’altitude, à quelques kilomètres au sud du parc, afin d’y construire le centre de reproduction de la fondation. Le zoo a entièrement assumé la construction du centre, qui figure désormais parmi les merveilles du monde des perroquets. Le centre n’est pas ouvert au grand public, mais les membres de la fondation y sont les bienvenus.

??La volière de la fondation LPF compte à ce jour environ 3 500 perroquets appartenant à 349 espèces et sous-espèces. Le centre de reproduction abrite quant à lui plus de 1 000 oiseaux également disposés dans deux zones distinctes.

La première zone est couverte d’une toile diaphane bleu clair qui crée un environnement convenant aux perroquets qui vivent dans un habitat naturellement dégagé, alors que la deuxième est munie d’une toile noire opaque, généralement pour les espèces provenant de forêts denses. Les toiles sont conçues pour empêcher les oiseaux étrangers de pénétrer dans les zones, une fonction essentielle afin d’éviter toute transmission de maladies. De plus, les toiles permettent d’attraper les fugitifs tentant de s’échapper de la volière. Au fil du temps, la végétation du centre de reproduction s’est épanouie, donnant aujourd’hui l’impression de véritables volières en plein cœur de la nature. De nombreux fruits comestibles, comme des papayes, des oranges et des goyaves, poussent dans les arbres et les plantes du centre et servent donc à l’alimentation des perroquets..

Les installations de recherche

L’élevage de perroquets

Le centre de reproduction représente une très grande part des activités de la fondation LPF, laquelle a pour but :

« de préserver les perroquets et leur habitat grâce à l’éducation, à des recherches appliquées, à des programmes d’élevage écoresponsables et à des activités communautaires visant à conserver les perroquets comme des ambassadeurs de la nature ».

La mise en place de programmes d’élevage écoresponsable contribue à la préservation des espèces de diverses manières. A priori, la fondation conserve généralement plusieurs couples de perroquets de chaque taxon, formant ainsi une population considérablement variée qui sert de « réserve » potentielle. Ensuite, la volière abrite certaines espèces grandement menacées d’extinction dans leur milieu naturel. Grâce aux programmes d’élevage coopératif, il est possible d’assurer un « bassin de réserve » efficace en vue d’une réinsertion future, permettant ainsi la préservation des espèces. Certains programmes relèvent directement du gouvernement, comme celui de l’ara de Spix (Cyanopsitta spixii) du Brésil, une espèce éteinte dont le rétablissement oblige un élevage en captivité suivi d’une réinsertion ultérieure. Cette année, malgré l’élevage difficile de cette espèce, la fondation héberge un jeune ara. D’autres programmes d’élevage relèvent d’associations régionales de parcs animaliers, comme le zoo Loro Parque et son collaborateur européen (European Association of Zoos and Aquaria). Par ailleurs, la fondation fait partie de 29 programmes de l’EEP et registres généalogiques européens et internationaux; elle est responsable du registre généalogique international et coordonnateur du programme EEP de l’ara canindé (Ara glaucogularis), lequel compte à peine une cinquantaine de perroquets à l’état sauvage dans son pays d’origine, la Bolivie. La fondation coordonne également le programme EEP de l’amazone à sourcils rouges (Amazona rhodocorytha), en plus d’assurer la tenue des registres généalogiques du lori arlequin (Eos histrio), du loriquet de Johnstone (Trichoglossus johnstoniae) et de l’amazone de Prêtre (Amazona pretrei).

3inHandDe plus, chaque année, la fondation LPF met sur le marché les jeunes perroquets d’élevage des espèces communes, aux fins de préservation. Ainsi, le commerce d’oiseaux élevés en captivité freine la traite d’oiseaux capturés à l’état sauvage et couvre la totalité des coûts engendrés par les projets de préservation de la fondation, déployés à l’échelle mondiale. En 2003, près de 1 300 oiseaux se sont retrouvés sur le marché. D’ailleurs, les coûts d’administration de la fondation LPF sont entièrement assurés par son principal allié, le zoo Loro Parque, permettant ainsi d’utiliser toute autre source de revenus exclusivement pour le financement des projets de préservation et de protection des animaux. Évidemment, les donateurs en sont reconnaissants, d’autant plus que la fondation est reconnue comme un organisme à but non lucratif. La mine d’informations inestimable que constitue la volière de perroquets corrobore la visée de la fondation. En effet, grâce à la collaboration continue de facultés de recherche universitaires en provenance de différents pays et traitant divers domaines, des étudiants ont la chance de côtoyer des perroquets et d’effectuer des recherches sur tout ce qui a trait à leur élevage. Entre autres, bon nombre d’entre elles portent sur l’alimentation, afin d’améliorer constamment les plans alimentaires, la santé et l’élevage de tous les perroquets en captivité, y compris ceux de la fondation. D’autres études portent sur les causes du picage des plumes et évaluent la croissance des perroquets juvéniles élevés par des humains par rapport aux jeunes oiseaux élevés par leurs pairs. Des études sur les maladies et les troubles de santé des perroquets s’intéressent par ailleurs à la dilatation du proventricule, à la maladie du bec et des plumes des psittacidés et au virus du polyome.

Une action éducative continue

ScholKidDrawSmallLa volière de perroquets a également une visée éducative. En effet, les activités pédagogiques du zoo Loro Parque sont entièrement prises en charge par la fondation; celle-ci fournit tout le matériel et organise les visites scolaires, se chiffrant chaque année à des milliers. De plus, dans un but de conscientisation et de diffusion de l’information, la fondation organise des ateliers spécialisés (en plusieurs langues) et, tous les quatre ans, tient un congrès international sur les perroquets (International Parrot Convention), à Tenerife. Le prochain congrès aura lieu du 22 au 25 septembre 2014.

La préservation des espèces

Le portrait du zoo serait incomplet sans souligner l’engagement de la fondation à préserver les perroquets dans la nature. Depuis ses débuts, celle-ci a mené à bien quantité de projets visant à préserver les espèces de perroquets menacées d’extinction ainsi que leurs habitats naturels. Pour ce faire, organisations gouvernementales et non gouvernementales et associations locales collaborent afin d’instaurer des mesures de protection et de restauration, des programmes de recherche et des plans d’action visant la conscientisation et l’éducation.

La fondation LPF a financé et réalisé 37 projets, totalisant près de 3 millions d’euros, et comptant 58 espèces de perroquets, recensées auprès de 17 pays. Le financement des 15 projets en cours sur le terrain s’élève en moyenne à 400 000 euros par année.

RareBlue Macaw
L’ara de Spix (Cyanopsitta spixii), une espèce désormais disparue de la nature

Le rétablissement de l’ara de Spix est sans doute le projet le mieux connu et le plus délicat. Pendant la décennie précédant l’extinction de l’espèce en décembre 2000, la fondation LPF a encouragé le travail de terrain visant à préserver le dernier mâle ara de Spix et sa compagne, une femelle ara d’Illiger (Propyrrhura maracana). L’équipe de terrain a également pris en charge la protection et la remise en état de l’habitat des aras, en plus de collaborer étroitement avec la communauté locale afin de cultiver un sentiment de fierté envers ce petit ara bleu et ainsi offrir une base solide aux actions futures. Bien que cette espèce doive désormais être rétablie en captivité, cet effort a permis à l’équipe de recueillir une grande quantité d’information biologique, laquelle s’avérera utile lors de la réintroduction contrôlée.

blue throated
Ara canindé ou Ara glaucogularis

Comme mentionné précédemment, la situation de l’ara canindé est très précaire. Depuis 1993, la fondation LPF collabore avec l’association bolivienne Armonía, une organisation non gouvernementale, afin d’assurer le rétablissement naturel de l’espèce, restreinte aux plaines périodiquement inondées de Beni, au nord-est de la Bolivie. Pour faire son nid et se nourrir, l’ara canindé a besoin d’un habitat peuplé d’arbres et de palmiers, lequel est situé sur un territoire privé réservé à l’élevage de bovins. L’association Armonía tente donc de convaincre les propriétaires des terres d’adopter des pratiques respectueuses de l’habitat des aras. De plus, elle organise des campagnes de sensibilisation et tente, entre autres, de contrer le braconnage des oisillons à même leur nid, un délit fréquent et difficile à déceler.

En 2003, la fondation et l’association Armonía ont instauré un plan de rétablissement officiel pour l’ara canindé. En Colombie, un autre projet sud-américain protège la conure à joues d’or (Ognorhynchus icterotis), une espèce menacée d’extinction imminente. Comme la conure affectionne particulièrement les palmiers du genre Ceroxylon pour nourrir ses petits et faire son nid, la dégradation de son habitat a entraîné une baisse brutale de population. Or, le succès constant du projet permettrait de rayer la conure de la liste des cas critiques. De plus, grâce au travail sur le terrain réalisé par le partenaire colombien de la fondation LPF, l’organisme Fundación ProAves, la population de conures, qui était de 81 en 1999, s’élève maintenant à plus de 600.

Deforestationsmall
Armonía tente donc de convaincre les propriétaires des terres d’adopter des pratiques respectueuses de l’habitat des aras.

3menlookingsmallD’importants projets de la fondation LPF sont en cours partout dans le monde. L’un d’eux vise la préservation de la réserve Phu Khieo Wildlife Sanctuary, en collaboration avec le gouvernement thaïlandais. Ce projet, supervisé par le Palais royal, met l’accent sur la biodiversité et la sensibilisation des multiples villages aux abords de la réserve afin de minimiser leur impact écologique. À cette fin, la réserve abrite des perroquets captivants, comme la perruche de Finsch (Psittacula finschii), et même des tigres, des éléphants et d’autres animaux de grande taille.

Le programme de préservation du cacatoès des Philippines (Cacatua haematuropygia) est un autre projet réalisé en Asie conjointement avec la fondation LPF. Ce dernier tente de restaurer l’espèce à l’état sauvage à la suite de la plus importante baisse jamais enregistrée, causée par la déforestation et le commerce illégal. Visant principalement l’île de Palawan, véritable fort à la défense de l’espèce, le projet encourage les habitants des diverses régions à protéger les nids, une manœuvre qui semble accroître la population de cacatoès à certains endroits.

Le zoo Loro Parque et la fondation Loro Parque Fundación poursuivent leur mission consistant à assurer la préservation des perroquets dans la nature, à prodiguer les meilleurs soins possible aux oiseaux en captivité et à faire de chaque visite au parc des perroquets de Puerto de la Cruz l’expérience la plus inoubliable qui soit. N’hésitez pas à vous joindre à nous!

Auteur : David Waugh
Directeur, Loro Parque Fundación
Illustrations fournies par la fondation LPF


Pour communiquer avec le zoo Loro Parque :

Loro Parque Fundacion (en anglais, en espagnol et en allemand seulement)
Loro Parque (en anglais, en espagnol et en allemand seulement)

Loro Parque S.A
38400, Puerto de la Cruz, Santa Cruz de Tenerife, España,
Phone(+34) 922.373.841
Fax (+34) 922.375.021
email: [email protected]

Devenez membre de la fondation LPF afin de contribuer à leurs activités.